Le style Kalbut va au-delà de la pure création animale à base de récup’.
Ses œuvres taquinent, revisitent, réinterprètent et nous contraignent bien souvent, pauvres mortels que nous sommes, à pas mal de second degré. Chacune de ses créations flirte avec l’autodérision.
Une sorte de claque monumentale qui pousse à remettre en question nos modes de vie et habitudes de consommation.